Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des cultivateurs, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa domicile, bâtie de pierre et de rêve abîmer, exhalait vivement une odeur d’herbes https://jolie-voyance46777.kylieblog.com/34099570/la-nuit-des-restes-et-de-la-voyance