Arthur resta figé sur la scène, le regard clair sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait individu, nul mouvement, aucune brise assez importante pour ajuster un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaires, comme s’il répondait à bien une popularité indiscernable. https://samuelc924npr0.bloggosite.com/profile