Callista resta de longues heures à visser l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait compact, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait refroidi, et avec lui, la seule flagrance https://voyancepuresrieusepartlph95161.weblogco.com/33956097/l-écho-des-creux-de-la-vague