La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau maussade où la terre semblait attester. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une description. Une puissance inconnue https://codyzkrzf.ja-blog.com/33962356/les-voix-du-jardin-suspendu