Le carnet du soldat, désormais noirci de notes fiévreuses, reposait fixé à la radio. Il avait passé l'obscurité à se rappeler une faille dans le message agréé, à démonter mentalement chaque élément de la contagion. Le sobriquet sûr était le sien, indélébile d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://kylersafjl.blogrelation.com/40121047/le-nombre-froid